Graphothérapeute dans votre département du Calvados à proximité de Caen (14000) et de Bayeux (14400)
Vous souhaitez, pour votre enfant ou pour vous-même :
• Gagner en rapidité d'écriture afin de faciliter les prises de notes (en milieu scolaire, universitaire ou professionnel), pour préparer un concours, un examen et se donner toutes les chances de le réaliser dans les temps impartis.
• Rendre l'écriture plus lisible, et ainsi améliorer la communication avec autrui (famille, enseignants, collègues) ou bien parce que cela peut jouer un rôle essentiel dans le recrutement professionnel.
• Renforcer le confort car écrire peut être associé à des douleurs, à de l'inconfort (ex : crispation ou mollesse).
• Favoriser les capacités d’écriture de votre jeune enfant en amont en anticipant par de bonnes pratiques dans les gestes du quotidien et dans le tracé des formes pré-scripturales.
Gagner en facilité d’écriture, en plaisir et en satisfaction, c'est ne plus être dans l'évitement et retrouver l'estime de vos productions manuscrites.
Bonne nouvelle, il n'y a pas d'âge pour décider d'y remédier !
Vous pensez que votre enfant a besoin d'une rééducation de l'écriture :
Les signes courants :
• Vous observez de l'irrégularité dans la formation des lettres, dans les proportions, l'ensemble est plutôt peu soigné ou mal présenté.
• L'écriture est discontinue avec des lettres qui s’entrechoquent, des ratures, l'ensemble manque de fluidité.
• Vous constatez que l'écriture de votre enfant est fatigante, source de tensions, de douleurs, d'une extrême lenteur tout en nécessitant un effort excessif.
Exemple d'une dysgraphie "MALADROITE"
Les causes fréquentes :
• Une tenue inadéquate de l’instrument ou un mauvais positionnement du corps.
• Un trouble moteur, auditif ou visuel.
• Un haut potentiel intellectuel.
• Des troubles associés comme la dyslexie, la dysorthographie, etc.
• Un trouble de l’attention avec ou sans hyperactivité.
• Une latéralité non encore établit.
Pourquoi l’écriture manuscrite se dégrade-t-elle aujourd'hui ?
Nous prenons moins le temps...
Au fil des décennies, le temps consacré en classe à l’apprentissage de l'écriture a fondu : 10 heures hebdomadaires en 1960, 2h aujourd’hui selon les professeurs.
Beaucoup de thérapeutes font ce constat : nombre d’enfants et d’adolescents en rééducation d’écriture ne sont pas dysgraphiques, mais ils souffrent simplement d’un manque d’apprentissage conséquent de l’écriture.
Le monde s'accélère...
Dans le même temps, le monde va de plus en plus vite et on demande aux enfants et aux étudiants d’écrire VITE & BIEN mais sans leur avoir donné le temps, au préalable, d’acquérir la maîtrise et l’aisance du geste de l’écrit. La gestuelle ne suit pas et se crispe ou se relâche complètement.
L'usage des écrans (smartphone/tablette/ordinateur) est trop précoce...
L’usage précoce et immodéré des smartphones, tablettes tactiles et des jeux sur ordinateur imposent une gestuelle simple, limitée, facile à maîtriser.
L’attractivité "hypnotique" des écrans accapare l’attention au détriment des activités classiques qui développent la motricité fine des doigts.
Résultats :
les doigts ne développent pas leurs muscles et la motricité fine indispensable à une bonne maîtrise du geste de l’écriture.
Cela entraîne une atrophie de l’index et l’hypermobilité des pouces qui ne parviennent plus à se plier normalement pour tenir un crayon convenablement.
La rapidité d’écriture attendue va avec une aisance du geste que l’on ne prend plus le temps de faire acquérir !
L'aisance du geste de l'écriture, un enjeu d'importance :
Le risque : la dysgraphie
On peut parler de dysgraphie lorsque la qualité de l'écriture est déficiente alors qu'aucun déficit neurologique ne l'explique. D'une façon plus générale, on parlera également de dysgraphie si l'écriture :
• est lente ou fatigante,
• est peu lisible,
• n'est pas conforme à l'âge ou aux possibilités attendues de l'enfant.
ÉCRIRE va de pair avec LIRE.
La lecture engage un processus "d’écriture mental" similaire au processus mis en œuvre lorsque nous écrivons.
La maîtrise de l’écriture participe donc au processus de lecture et à l’élaboration de la pensée notamment abstraite.
Selon Ingrid Riocreux, "écrire à la main améliore les performances cognitives, permet une mémorisation plus efficace des contenus et favorise l’expression développée d’idées subtiles et complexes".